je suis en vacances et pour passer l'aprem j'ai écrit ceci, jespere que cela vous plaira.
La foule été en délire, les hurlements remplissaient l’arène. Sous un ardent soleil, un combat entre deux grands noms de l’escrime s’affronter. Le duel durait depuis un moment que les bretteurs auraient étés bien incapable de déterminer. Les lames étaient fortement abîmées, il faudrait un excellent forgeront pour leurs rendrent l’éclat pure quand le soleil se reflétait dessus.
La sueur recouvrait les corps des deux adversaires, mêlé avec du sang, qui se déversait des nombreuses plaies. Un énième regard, une nouvelle invitation à s’affronter. Et tout recommença, une botte, un coup paré. Une nouvelle éraflure, un violent coup de poing dans le ventre, un pas en arrière pour reprendre son souffle.
Cette manœuvre avait été répétée un nombre incalculable de fois, la fatigue se faisait sentir, le rythme baissait. Aucun ne voulait offrir son âme, mais la seul issu de se combat été la mort d’un des partis.
Les combattants étaient des prisonniers de guerre. Des milliers de captifs avaient combattus pour vivre, le vainqueur de se tournois gagnerais la nationalité du pays, pourrais vivre comme son cœur lui dicterait. Mais pour cela, il devait vire. Chacun d’eux avait fait de nombreux combats pour parvenir sur ce sable brûlant, leurs sangs avaient coulé sur de nombreux sol, et ici, se pourrait être la dernière fois.
Les cris de la foule redoublèrent d’intensité quand une nouvelle attaque commença. Comme avec un regain d’énergie, les bretteurs redoublèrent leurs attaques. La puissance des coups était effroyable.
Dans sa loge aménager, le roi buvait un doux nectar, ramené de la dernière conquête, comme les deux hommes qui se battaient furieusement. Le sourire sur le visage du souverain en disait long sur son plaisir de voir deux esclaves se battrent. Le combat été épique, et le peuple en serrait heureux, et ne fera pas de polémique pour une nouvelle guerre de conquête. Décidément, la journée été excellent.
Dans un rapide mouvement, un des hommes se retrouva à genoux, pourtant, aucun coup n’avait porté, son adversaire en profita pour bondir sur lui et arracher la victoire. Tout se passa rapidement, la foule retient son souffle. L’homme à genoux, été recouvert de l’ombre de son ennemi, qui fut un jour un ami, un camarade. Ils avaient mangé ensemble, trimer dans la boue, braver des batailles, et maintenant, c’est l’un contre l’autre qu’il devait se battre.
Le sable fut recouvert de sang, les deux hommes étaient à terre, aucun ne bougeait. Comme un seul homme, tous les spectateurs se levèrent, ébahis par l’issue du combat. Pendant cinq minutes, le temps sembla suspendu. Alors un corps commença à se mouvoir, il se mit debout, juste à coter du cadavre. Il pleurait, quand la foule s’en rendu compte, on rigola de lui.
-Mon ami, je ne te laisserais pas seul pour franchir le grand portail de l’au-delà.
L’homme leva une dernière fois son bras, un couteau dans la main, avec un geste lent, il se coupa une carotide. La vie le quitter, en même temps que son sang, il été paisible, le soleil brillait de mille feux de son regard, avant de s’éteindre pour ne jamais réapparaître.