Dirpac

L’air été chaud, sous mes ailes, le ciel oranger devant moi s’étendait à perte de vue, même avec ma vue perçante. Je gouttais à la joie voler, je faisait cela depuis ma plus tendre enfance, mais c’été un plaisir a chaque fois renouvelé. Un groupe d’oiseau se dessinait au loin, je m’aider d’un courant ascendant pour prendre de l’altitude. La terre défilait à vive allure sous mes yeux, malgré la distance, je distinguais un lapin, entrain de manger une salade. Mon repas repéré, je piquais droit vers lui, il ne prendrait connaissance de ma présence trop tard, quand mes serres lui auraient arraché une ou deux parties de son corps, alors sa chaire me délectera et remplira l’estomac pour un petit moment.

Porté par le vent, une flèche traversa le petit mammifère, avant que j’ai pus m’en saisir, un homme sorti d’un bosquet, pour prendre son repas, en lancent un cri de mépris accompagner d’un juron, je repris de l’altitude pour chercher une autre proie, que cette homme se délecte de son repas, tandis que je volais le ventre vide.

Le lapin cuisait maintenant depuis une dizaine de minutes, l’homme, assis à coter, surveiller patiemment le lapin en train de cuir. Non pas qu’il avait une grande fin, son petit déjeuner lui assurer suffisamment de nutriment pour une journée de labeur. Mais manger un animal capturer et mijoté par soi même été agréable.

Les cheveux longs, d’une plaisante couleur rousse, étaient attacher en queux de cheval, et lui descendait jusqu’aux épaules. Le front parcouru par quelques rides, le mûrissait, âgé de trente-quatre saisons, Dirpac été un homme avec une frêle silhouette, d’aspect plutôt maigre, nonobstant les quantités de nourritures régulièrement ingurgitées. Plutôt grand, le visage sans expression, il parlait peut, et préféré la solitude de la campagne à l’agitation de la grande ville.

Dirpac faisait parti de l’armé, grande organisation, qui recruter et former de nombreuses personnes à l’art du combat, et ses meilleurs éléments à l’art de la guerre. Il profitait d’un congé après avoir passer les six dernier moi dans une garnison au loin dans le nord, à surveiller les frontières et contrer quelques incursions étrangères. Dirpac était propriétaire d’un lopin de terre, avec des champs, ainsi qu’un peu de vignoble.

Après la dégustation de son lapin, et une sieste à l’ombre d’un grand pin, le temps été venu de rentrer dans sa demeure. Le lendemain, il devait reprendre la route pour aller au quartier général de son corps militaire et recevoir sa nouvelle affectation.

Son major d’homme, Bogolan, s’occuper des affaires courantes pendant les absences de Dirpac, être minutieu et fiables, le patrimoine prospéré. A son arriver, ses bagages étaient déjà prêtes pour le départ.

Le cheval trottait tranquillement, son cavalier bien à son aise sur sa monture, passait les grandes portes d’Orpidus. Dirpac mit pied à terre, tenant la bride de son étalon. Puissant cheval, rapides, et plus intelligent que la moyenne, se cheval été une perle rare comme on en faisait pus.

La ville commençait à s’endormir, le soleil au loin décliner, les volets se fermer, quelques enfants jouaient encore dans les rues. Dirpac suivit des allées, qu’il avait déjà foulées mainte fois. La caserne se trouvait au nord-est de la ville, étant un officier, il bénéficier d’une petite chambre personnelle, pas bien grande, mais ainsi il n’était pas obliger de supporter les soldats dans les dortoirs, une expérience pire qu’une bataille pour lui.

Sa chambre avait des couleurs pourpres, dans différentes nuances, il alluma une bougie sur la table de chevet, rangea quelques affaires dans les tiroirs, il s’endormi, tout comme son cheval qui en faisait autant dans les écuries.